The Telephone or “l’amour à trois”
Opéra bouffe de Gian Carlo Menotti
Elsa Pélaquier, soprano
Pierre-Jean Mazel, baryton
Farin Khatib ou Clémence Chabrand, piano
Loreline Mione, mise en scène
Elsa Pélaquier, soprano
Pierre-Jean Mazel, baryton
Farin Khatib ou Clémence Chabrand, piano
Loreline Mione, mise en scène
The Telephone, un opéra bouffe en un acte
Alors que Ben vient déclarer sa flamme et demander sa main à Lucy, cette dernière, jeune femme de son temps, échappe à sa déclaration car elle est sans cesse happée par son téléphone. L’essentiel de la vie sociale de la jeune femme s’organise autour de ce petit objet. Dépassé, Ben tente alors de le faire disparaître mais est surpris pendant son larcin. Malgré tous ses efforts, la solution pour dire son amour à Lucy sera d’utiliser lui-même le téléphone pour se faire enfin entendre.
En première partie, une suite de mélodies américaines de la même époque, mises en scène, introduit le spectateur dans cet univers.
En première partie, une suite de mélodies américaines de la même époque, mises en scène, introduit le spectateur dans cet univers.
La musique du Téléphone trouve une résonance évidente dans l'univers des films burlesques. L'ambiance se veut légère, virevoltante. Pas question ici de se prendre au sérieux. De caricatures en gags, tout est prétexte à sourire. Mais en réalité, comme dans l'univers du clown, le rire s'avère être à double tranchant. On rit parfois de la détresse de ces deux personnages, amoureux, et de cette incapacité qu'ils ont à se le dire, à se l'avouer simplement. L'un se cache derrière son téléphone, l'autre derrière sa maladresse, chacun se perd dans une course effrénée et sans but. Et soudain tout s'arrête. C'est le moment si précieux où le superflu laisse place à l'essentiel.
Programme première partie
American Love Songs
I’m thru’ with love, Gus Kahn/Joseph A. Livingston/Matt Malneck
My baby just care for me, Walter Donaldson/Gus Kahn
Looking at you, Cole Porter
Just you, just me, Jesse Greer/Raymond Klages
If I had you,Ted Shapiro, Jimmy Campbell et Reg Connelly
I can’t believe that you’re in love with me, Clarence Gaskill/Jimmy McHught
Création 2011
Bobigny | Conservatoire (Seine Saint-Denis) | 28 juin 2011
Festival La grande Journée
Bobigny | Conservatoire (Seine Saint-Denis) | 1er octobre 2011
Festival international de rue d’Aurillac
Aurillac | 16, 17, 18, 19 et 20 Août 2011
Paris 1er | Centre d'animation Les Halles-Le Marais | 22 mars 2012 | 23 mars (2 représentations)
Festival La grande Journée
Bobigny | Conservatoire (Seine Saint-Denis) | 1er octobre 2011
Festival international de rue d’Aurillac
Aurillac | 16, 17, 18, 19 et 20 Août 2011
Paris 1er | Centre d'animation Les Halles-Le Marais | 22 mars 2012 | 23 mars (2 représentations)