
The Telephone
or “l’amour à trois”
Gian Carlo MenottiDeux chanteurs et piano

Mise en scène
Loreline Mione
Avec
Elsa Pélaquier, soprano
Pierre-Jean Mazel, baryton
Clémence Chabrand, pianiste

Spectacle soutenu par
La Mairie de Paris

Le centre d’animation Les Halles-Le Marais, Paris 1er

Programme
American Love Songs
Gus Kahn/Joseph
A. Livingston/Matt Malneck
I’m thru’ with love
Walter Donaldson/Gus Kahn
My baby just care for me
Cole Porter
Looking at you
Jesse Greer/Raymond Klages
Just you, just me
Ted Shapiro, Jimmy Campbell et Reg Connelly
If I had you
Clarence Gaskill/Jimmy McHught
I can’t believe that you’re in love with me

The Telephone,
un opéra bouffe en un acte
Alors que Ben vient déclarer sa flamme et demander sa main à Lucy, cette dernière, jeune femme de son temps, échappe à sa déclaration car elle est sans cesse happée par son téléphone. L’essentiel de la vie sociale de la jeune femme s’organise autour de ce petit objet. Dépassé, Ben tente alors de le faire disparaître mais est surpris pendant son larcin. Malgré tous ses efforts, la solution pour dire son amour à Lucy sera d’utiliser lui-même le téléphone pour se faire enfin entendre.
Teaser du spectacle
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Note de mise en scène
un opéra bouffe en un acte
Alors que Ben vient déclarer sa flamme et demander sa main à Lucy, cette dernière, jeune femme de son temps, échappe à sa déclaration car elle est sans cesse happée par son téléphone. L’essentiel de la vie sociale de la jeune femme s’organise autour de ce petit objet. Dépassé, Ben tente alors de le faire disparaître mais est surpris pendant son larcin. Malgré tous ses efforts, la solution pour dire son amour à Lucy sera d’utiliser lui-même le téléphone pour se faire enfin entendre.
En première partie, une suite de mélodies américaines de la même époque, mises en scène, introduit le spectateur dans cet univers.
Teaser du spectacle

La musique du Téléphone trouve une résonance évidente dans l'univers des films burlesques. L'ambiance se veut légère, virevoltante. Pas question ici de se prendre au sérieux. De caricatures en gags, tout est prétexte à sourire. Mais en réalité, comme dans l'univers du clown, le rire s'avère être à double tranchant. On rit parfois de la détresse de ces deux personnages, amoureux, et de cette incapacité qu'ils ont à se le dire, à se l'avouer simplement. L'un se cache derrière son téléphone, l'autre derrière sa maladresse, chacun se perd dans une course effrénée et sans but. Et soudain tout s'arrête. C'est le moment si précieux où le superflu laisse place à l'essentiel.
Représentations
CRD de
Bobigny, Seine Saint-Denis
Festival international de rue d'Aurillac
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